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L’association Ikambere se déploie et lance son nouveau centre de ressources « Igikali, la Maison apaisante », dédié à l’accompagnement vers l’autonomie de femmes vivant avec un diabète, une obésité et/ou une hypertension artérielle.

Aminata Sinon et Rose Nguekeng, conseillères en santé sexuelle à Ikambere, se sont rendues à Laval pour sensibiliser 14 professionnel.le.s du territoire aux vulnérabilités spécifiques rencontrées par les femmes migrantes originaires d’Afrique subsaharienne.

Pour la deuxième année consécutive, Ikambere a bénéficié d’un don de cadeaux exceptionnel de la part de Vente Privée pour l’organisation d’une journée de distribution de cadeaux de Noël pour les femmes accompagnées par l’association, ainsi que leurs enfants, dans nos locaux.

Grâce à son soutien, la Fondation des Femmes permet à Ikambere de concrétiser le déploiement de deux nouveux centres de ressources en 2021 : Ikirambi, la Maison reposante et Igikali, la Maison apaisante.​

Le 11 mai 2021, Ikirambi, la Maison reposante, a ouvert ses portes aux femmes accompagnées par l’association. Nichée au coeur du Vexin français, cette maison vise à offrir des séjours de cinq jours afin de renforcer la prise en charge et améliorer la qualité de vie des femmes vivant avec le VIH.

Un outil de sensibilisation pour accroitre l’autonomie, les capacités et le pouvoir d’agir des femmes migrantes.

Dans le contexte de crise sanitaire, Ikambere a dû revoir son action avec notamment la fermeture de son centre d’accueil de jour entre le 17 mars et le 11 mai 2020. Cette fermeture a privé les bénéficiaires du soutien et du repère quotidien que constitue l’accompagnement proposé dans les locaux de l’association.

A travers ce livre, plongez au cœur d’Ikambere, un lieu où les femmes migrantes frappées par le sida trouvent refuge.

ADASI soutient le développement de solutions nouvelles par Ikambere et la possibilité de faire profiter à d’autres populations vulnérables de sa méthodologie.​