La vulnérabilité accrue des femmes migrantes peut avoir un effet délétère sur leur santé sexuelle et leur bien-être. La connaissance de ces difficultés par les professionnel.le.s médico-sociaux est essentielle pour une meilleure compréhension des réalités et donc une meilleure prise en charge médico-sociale de ces populations. 

Lors de son intervention auprès d’étudiant.es en médecine à Sorbonne Université, Aminata Sinon, dotée de plus de 20 ans d’expérience à Ikambere, a pu mettre en lumière le contexte de difficultés sanitaires, psychologiques, administratives et sociales rencontrées par les femmes migrantes. Elle a également insisté sur l’exposition aux violences sexuelles et le risque élevé d’exposition au VIH et aux IST de ces femmes à chaque étape de leur parcours migratoire. 

« Merci d’avoir décrit de façon simple eet juste les réalités qui sont parfois inconnues du milieu médical. » – Claire, étudiante à la Faculté de médecine, Sorbonne Université