Nos actualités > Lancement de la Maison reposante

Nos actualités

11/05/2021

La Maison reposante : un lieu unique pour améliorer le bien-être des femmes vulnérables

Le 11 mai 2021, Ikirambi, la Maison reposante, a ouvert ses portes aux femmes accompagnées par l'association. Nichée au coeur du Vexin français, cette maison vise à offrir des séjours de cinq jours intitulés "Santé, bien-être et sororité" afin de renforcer la prise en charge et améliorer la qualité de vie des femmes vivant avec le VIH.

IMG_9183

Suite à de longues périodes d’isolement dûes à la crise sanitaire de Covid-19, 8 femmes accompagnées par l’association ont pris la route pour leur premier séjour au sein d’Ikirambi, la Maison reposante, en compagnie d’Assita Maïga, médiatrice en santé à Ikambere. 

Nichée au coeur du Vexin français à Nesles-la-Vallée, la Maison reposante dispose de 5 chambres, d’un espace de vie commune, d’une salle d’activités et d’un large espace de cuisine. Elle ouvre sur un très grand espace extérieur de 1800m² arboré, comprenant un potager. Les séjours se déroulent sur cinq jours, du mardi au samedi, et sont coordonnés et encadrés par des salarié.e.s d’Ikambere. Des intervenants extérieurs sont sollicités pour animer des ateliers spécifiques : boxe, marche nordique, tissage, relaxation, jeux sportifs, etc. 

Afin de permettre au plus grand nombre d’en profiter, vingt séjours visent à être proposés chaque année. Ils sont entièrement gratuits et pris en charge par l’association.

Pour les femmes accompagnées par l’association, séjourner à la Maison reposante, c’est plonger dans un havre de paix le temps d’un instant. C’est profiter d’un cadre paisible, nouer des liens d’amitiés entre paires, participer à des activités sportives et artistiques et partir à la découverte du Vexin français. La Maison reposante, c’est notre projet « coup de cœur » qui vient renforcer l’accompagnement des femmes vers le bien-être et l’autonomie.

« Les ateliers nous permettent de nous sentir bien, de nous faire plaisir, de moins penser, de penser à autre chose. Ca, c’est la santé pour moi, un bien-être même » – Liliane, bénéficiaire à Ikambere